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Gori, Pietro ( 1865-1911)
https://www.bfscollezionidigitali.org/entita/13627-%E2%80%8Bgori-pietro-ernesto-antonio-giuseppe-cesare-augusto
in Dictionnaire des militants anarchistes : GORI, Pietro
Né à Messine le 14 août 1865 — mort le 8 mai 1911 — Avocat — AIT — Milan — Lugano — Londres — Paterson — Buenos Aires
C’est au cours de ses études classiques et universitaires de droit à Livourne puis à Pise que Pietro Gori se familiarisa avec les idées socialistes puis devint anarchiste. En 1885 il adhéra à l’Internationale et au mouvement libertaire et en 1887 connut son premier procès pour la publication de la brochure « Pensées rebelles » pour laquelle il fut condamné à un an de prison. Malgré les persécutions il parvint à soutenir sa thèse intitulée « La misère et le crime ».
En 1891, avant la (…)
Almeno 47 periodici in lingua italiana pubblicati su questo nome prima
(vedere sul sito Bettini).
Au moins 3 revues francophones parues sous ce nom
(voir sur le site Bianco).
Au moins 1 ouvrage recensé dans le
Catalogue général des éditions et collections anarchistes francophones.
Au moins 21 cartes postales anarchistes parues avec ce nom.
Voir sur Cartoliste.
Au moins 3 affiches anarchistes parues avec ce nom.
Voir sur Placard
chansons / poesies
(Voir : site Canto).
liste
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Plaque d’hommage à Pietro Gori (1865-1911), militant révolutionnaire anarchiste, Fondateur du 1er Parti ouvrier, Avocat des pauvres et Poète de l’anarchie. Plaque inaugurée le 27 novembre 2011 à Empoli (Toscane, Italie) pour le centenaire de sa mort. Voir vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=Q-GTJ1rQEkM
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Plaque de marbre à Francisco Ferrer à Arcevia (Province d’Ancône, Italie), épigraphe de Pietro Gori.
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Plaque de marbre à Francisco Ferrer à Pise, via Pietro Gori, avec l’épigraphe de Pietro Gori. Plaque de 1910, restaurée et inaugurée le 8 octobre 2011.
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Plaque en marbre dédiés aux martyrs de la classe ouvrières à Carrare, Piazza Alberica, sur la façade du Palais Pisani. Epigraphe de Pietro Gori. Plaque inaugurée le 28 septembre 1902.
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Drapeau du Groupe Anarchiste Pietro Gori de Cascina, près de Pise, (Archive photo de la Bibliothèque F. Serantini de Pise). Est-ce le même drapeau avec la mention supplémentaire "Riglione" (quartier de Pise) arboré lors de l’inauguration du buste de Pietro Gori à Rosignano en 1960. A noter la présence de ce drapeau à Pise le 8 octobre 2011 lors de l’inauguration de la plaque Francisco Ferrer.
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Portrait de Pietro Gori (1865-1911) par le peintre Plinio Nomellini.
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Plaque Pietro Gori dans la Mairie de Monterotondo Marittimo, (Province de Grosseto, Toscane, Italie) inaugurée le 20 juillet 1947.
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Plaque de marbre d’hommage à Pietro Gori à Piombino (Province de Livourne, Toscane, Italie). Cette plaque a été inaugurée en 1920, mais a été arrachée de son socle et jetée à la poubelle par les fascistes en 1926. Le 19 août 1945 "Piombino la rossa" a réparé le tort, et a replacé la plaque dans la rue qui porte son nom, rendant ainsi "hommage à celui qui a consacré toute sa vie à la rédemption humaine".
À noter qu’elle voisine avec la rue Francisco Ferrer qui fait le coin avec la rue Giuseppe Pietri où se trouve le siège historique de la Fédération anarchiste de Piombino, et que la rue Pietri se jette ensuite dans la rue Giordano Bruno.
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Plaque avec bas-relief de Pietro Gori (1865-1911) à Volterra (Province de Pise), inaugurée le 11 novembre 1973. Œuvre du sculpteur Giulio Orzalesi.
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Plaque d’hommage à Pietro Gori (1865-1911) Place du Peuple à Castagneto Carducci, installée le 30 septembre 1945. Elle remplace en fait la première plaque qui avait été inaugurée en 1911.
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Buste Pietro Gori à Rosignano Marittimo inauguré le 15 mai 1960. Le buste de Pietro Gori revient sur la Piazza delle Logge qui reprend son ancien nom Pietro Gori qu’elle portait depuis février 1911 (un mois après la mort de Gori). Il s’agissait alors du premier exemple de plaque dédiée à une figure anarchiste, sous la monarchie savoyarde. Cette décision a été révoquée le 30 septembre 1923 lorsque les fascismes l’ont débaptisée. En 1959, la place a retrouvé son nom d’origine et un Comité a été créé auquel ont adhéré les partis et les associations laïques de Rosignano, ainsi que des amis de Pietro Gori et des personnalités du mouvement anarchiste, dont Armando Borghi, Ugo Fedeli, Giovanna Berneri et Lorenzo Marianelli. qui a aboutit un an plus tard, à l’inauguration de ce buste en bronze offert par les anarchistes de Gênes et placé sur la place de Rosignano qui porte son nom. A noter qu’une partie du Musée civique est également destinée à conserver les souvenirs, photographies et œuvres de Pietro Gori.
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Plaque de marbre en hommage à Pietro Gori, via Gramsci, à Rosinagno Marittimo. Bas-relief représentant le buste de Pietro Gori sur les palmes de la gloire et du martyre dominé par une figure féminine avec une torche, symbolisant la liberté. Au bas de l’épigraphe et à la base de la plaque se trouvent les vers du poème "Partendo" tiré des "Chants d’exil" de Pietro Gori.
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Plaque d’hommage à Pietro Gori (1865-1911), à Sant’ Ilario (Ile d’Elbe), inaugurée le 27 février 1921, détruite par les fascistes en 1940, réinstallée en 1946.
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Plaque Pietro Gori (1865-1911), inaugurée le 30 avril 1947 à Gubbio, Province de Pérouse, Italie.
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"Où, sinon dans la Livourne anticléricale et rationaliste, un groupe anarchiste de Libre Pensée pourrait surgir, expressément qualifié « d’anti-religieux » ? Dédié à Pietro Gori, le grand poète de l’idéal, ce tissu remonte à 1947 et on peut encore aujourd’hui le voit arborer dans les manifestations libertaires."
Ce drapeau a fait partie de l’exposition de Reggio Emilia, en mars 2008, consacrée aux drapeaux anarchistes et à leurs histoires, voir le pdf de l’exposition : "Bandiere anarchiche Orgoglio e amore" (Drapeaux anarchistes Fierté et amour), textes de Massimo Ortali et photos de Marc Caselli Nirmal.
Dossier qui a été publié dans le numéro 337 de l’été 2008, de la "rivista anarchica".