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1945
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Carte du MLE CNT en France
Carte d’un membre de la CNT espagnole en France, en Bretagne après la Libération (nom illisible).
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Flyer : MLE - FIJL - CNT - Toulouse
Flyer du Mouvement libertaire espagnol en exil en France à Toulouse, annonce d’un meeting dont le thème est le jeune libertaire.
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Carte de Contrôle de Presse du Libertaire
Carte de contrôle de presse du journal Le Libertaire (années après la Libération) au nom d’un militant nommé Jean Lou Herphelin.
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Plaquette : Nooit meer Oorlog ! - "Plus jamais la Guerre !"
Plaque de cuivre, taille 25,2 x 18 cm, avec l’inscription pacifiste et antimilitariste en néerlandais : "Plus jamais la guerre", illustrée du Fusil brisé sur un soleil levant. Pièce du Musée de Rotterdam. Période de la deuxième guerre mondiale.
https://beeldbank.40-45nu.nl/index....
Gif animé : https://ebc-creations.fr/guerre-a-l... -
Plaque de la Rue Louise Michel à Douarnenez (Bretagne)
Plaque de la Rue Louise Michel à Douarnenez (Finistère, Bretagne). Elle sera l’enjeux d’une longue bataille juridique entre la première municipalité communiste de Bretagne, et de France, qui prend la décision le 25 février 1922 d’attribuer le nom de Louise Michel à une rue de la ville. Dénomination annulée un mois plus tard, le 18 mars (sic !), par le préfet. Nouvelle décision municipale le 10 juin 1922, aussitôt cassé par la préfecture. La bataille se poursuit, le 18 octobre, une plaque Louise Michel est apposée malgré le rejet par le Conseil d’État et le refus du Ministre de l’Intérieur. Nouvelles tentatives en 1924 par le nouveau maire communiste Daniel Le Flanchec. Finalement, le 25 août 1925, de guerre lasse la dénomination est enfin validée.
Mais l’histoire ne s’arrête pas là, dans les années trente, Le Franchec devenu dissident communiste, pour faire enrager le PC rebaptise la rue du nom de Pétain. Ce n’est qu’après la Libération, que la rue sera de nouveau attribuée à Louise Michel. -
Case d’Oreste Ristori à Empoli (Italie)
Case de l’anarchiste Oreste Ristori (12 août 1874 - fusillé par les fascistes le 02 décembre 1943) au cimetière d’Empoli (Toscane, Italie). https://it.wikipedia.org/wiki/Oreste_Ristori
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Plaque à Errico Malatesta à Rome
Plaque à l’anarchiste italien Errico Malatesta (1853-1932), Piazzale degli Eroi (Parvis des Héros), sur sa maison au numéro 9, qui fait angle avec la rue Andrea Doria, à Rome.
Plaque inaugurée le 22 juillet 1945, jour anniversaire de sa mort. -
Plaque Pietro Gori à Piombino (Italie)
Plaque de marbre d’hommage à Pietro Gori à Piombino (Province de Livourne, Toscane, Italie). Cette plaque a été inaugurée en 1920, mais a été arrachée de son socle et jetée à la poubelle par les fascistes en 1926. Le 19 août 1945 "Piombino la rossa" a réparé le tort, et a replacé la plaque dans la rue qui porte son nom, rendant ainsi "hommage à celui qui a consacré toute sa vie à la rédemption humaine".
À noter qu’elle voisine avec la rue Francisco Ferrer qui fait le coin avec la rue Giuseppe Pietri où se trouve le siège historique de la Fédération anarchiste de Piombino, et que la rue Pietri se jette ensuite dans la rue Giordano Bruno. -
Plaque Pietro Gori à Castagneto Carducci (Italie)
Plaque d’hommage à Pietro Gori (1865-1911) Place du Peuple à Castagneto Carducci, installée le 30 septembre 1945. Elle remplace en fait la première plaque qui avait été inaugurée en 1911.
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Drapeau - Groupe anarchiste Pietro Gori
Ce drapeau du Groupe anarchiste "Pietro Gori" de San Pietro in Trento, (petit ville de la Province de Ravenne), a une histoire singulière. Il a été brûlé par les fascistes autour de 1925, mais à la Libération les anarchistes ont contraint les fascistes en réparation et dédommagement à recréer et rebroder à la main ce nouveau drapeau et à le rendre à qui de droit.
L’histoire ne dit pas si c’est les fascistes eux-mêmes ou leurs femmes qui s’en sont chargés, et si la décoloration du rouge au rose est due à la mauvaise qualité des fils de broderie employés, où seulement à leur vieillesse.
Ce drapeau a fait partie de l’exposition de Reggio Emilia, en mars 2008, consacrée aux drapeaux anarchistes et à leurs histoires, voir le pdf de l’exposition : "Bandiere anarchiche Orgoglio e amore" (Drapeaux anarchistes, Fierté et amour), textes de Massimo Ortali et photos de Marc Caselli Nirmal. Dossier qui a été publié dans le numéro 337 de l’été 2008, de la "rivista anarchica".