1913

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  Plaques des rues Francisco Ferrer à Almada, et à Alto dos Moinhos, Lisbonne

  Plaque Francisco Ferrer à Almada, Lisbonne (Portugal). A noter qu’il existait de nombreuses rues portant le nom de Ferrer au Portugal (Évora, Guimarães, Fafe, Guarda, Lisboa, Tavira, Torres Vedras ou encore une rue Ferrer à Lourenço Marques (Mozambique). Elles ont toutes disparues avec la dictature. Ce n’est qu’après la Révolution du 25 avril 1974 que certaines ont retrouvé leur nom comme celle d’Almada mais sans mentionner la qualité de pédagogue de Ferrer (ce qui a été rectifié en octobre 2014). La Mairie de Lisbonne a aussi attribué le nom de Ferrer à une rue du quartier de l’Alto dos Moinhos, mais avec une inscription controversée de pédagogue et politicien (sic !).

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  Plaque Francisco Ferrer à Novaggio (Suisse)

  Plaque en hommage à Francisco Ferrer à Novaggio (district de Lugano, Tessin, Suisse), inaugurée en 1913.

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  Plaque à Francisco Ferrer à Carrare (Italie)

  Plaque en marbre avec le buste de Francisco Ferrer à Carrara (Italie), inaugurée le 11 octobre 1913, détruite par les fascistes, mais réinstallée en octobre 1946, via Roma, sur la façade de la maison de Paolo Carletti, aujourd’hui Piazza (Place) Alberica. Œuvre du sculpteur Gino Guadagni.

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  Stèle à Pietro Gori à Portoferraio (Ile d’Elbe, Italie)

  Stèle à Pietro Gori (1865-1911) à Portoferraio (Ile d’Elbe, Italie). Le 5 mai 1946, la plaque originale, "violée" par le fascisme en 1940, a été réinstallée, lors d’une grande manifestation avec bannière municipale, fanfare, drapeaux des représentants des partis politiques et une large participation du peuple. La plaque de marbre à la mémoire de "l’apôtre", sculptée par l’artiste Arturo Dazzi, avait été inaugurée pour la première fois le 30 novembre 1913, elle avait des dimensions considérables : 2 tonnes de poids, pour environ 3 mètres de haut, sur laquelle se dresse la figure nue d’une jeune femme ailée représentant l’Idée. Du côté droit de la plaque, protégé par les ailes de l’Idée elle-même, se trouve en médaillon la tête de Pietro Gori.
  A noter qu’en 1996, la place où elle est fixée (qui n’est pas l’endroit d’origine de 1913), a pris le nom de Pietro Gori, mais en février 2018 la municipalité de droite l’a débaptisée suscitant des manifestations.