Objets

Plaque sur la maison natale de Ferdinand Domela Nieuwenhuis au Singel 328 à Amsterdam.

Monument à Ferdinand Domela Nieuwenhuis (1846-1919), édifié en 1931 sur la place Nassauplein à Amsterdam par le sculpteur Johan Polet.

Plaques à Paolo Schicchi à Collesano (1865 – 1950), Sicile, Italie. A noter que sa date de naissance sur sa pierre tombale porte l’inscription 31-7-1865, alors qu’il est né le 31 août 1865.
https://www.ephemanar.net/aout31.html#schicchi

Plaque d’hommage à Pietro Gori (1865-1911), militant révolutionnaire anarchiste, Fondateur du 1er Parti ouvrier, Avocat des pauvres et Poète de l’anarchie. Plaque inaugurée le 27 novembre 2011 à Empoli (Toscane, Italie) pour le centenaire de sa mort. Voir vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=Q-GTJ1rQEkM

À Carrare, plaque d’hommage à la Résistance des anarchistes toscans morts pour la Liberté. Située à Colonnata, quartier de Carrare, Italie, placée en 1977 sur la Place Palestro.

Tombe de l’anarchiste Gino Lucetti (1900-1943) à Carrare, Italie. Le 11 septembre 1926, il avait tenté sans succès de tuer le dictateur Mussolini à Rome. Le monument est constitué d’un bloc de marbre en forme de parallélépipède, reposant sur quatre pieds.
A noter qu’une Place de Carrare a porté son nom après la Libération et qu’une autre place porte toujours son nom à Avenza (Carrare).

Tombe (stèle de marbre) de l’anarchiste et syndicaliste Alberto Meschi (1879-1958) au cimetière de Turigliano à Carrare, Italie.

Monument à Alberto Meschi (1879-1958), inauguré le 16 mai 1965 à Carrare. Sculpture de marbre d’Ezio Nelli qui représente Alberto Meschi (au centre), dans une attitude fraternelle et ferme de défense d’un groupe de carriers, accompagné d’enfants et d’une femme qui entourent le dirigeant syndical. Sur la plaque est inscrit les conquêtes de la réduction du temps de travail obtenues pour les carriers et les mineurs, par la Chambre du travail de Carrare, sous la conduite d’Alberto Meschi.

Rue Enrico Malatesta (1853-1932) à Pise (Italie).

Tombe de l’anarchiste Errico Malatesta (1853-1932) à Rome, Cimetière du Verano.
A noter que sa mort survenant en plein fascisme, les autorités interdirent toute manifestation de condoléances, ses obsèques furent contrôlées par la police et quiconque s’approchait de sa tombe était immédiatement identifié. Les autorités interdirent également sa crémation, car elles redoutaient que les anarchistes s’emparent des cendres et les emmènent à l’étranger et s’en servent comme symbole de résistance au régime.