Objets

Plaque de la rue Louise Michel à Tours (Indre-et-Loire).

Plaque de la Rue Louise Michel à Saint-Ouen (Seine-St-Denis), rue qui est en fait une voie privée.

Plaque Francisco Ferrer à Almada, Lisbonne (Portugal). A noter qu’il existait de nombreuses rues portant le nom de Ferrer au Portugal (Évora, Guimarães, Fafe, Guarda, Lisboa, Tavira, Torres Vedras ou encore une rue Ferrer à Lourenço Marques (Mozambique). Elles ont toutes disparues avec la dictature. Ce n’est qu’après la Révolution du 25 avril 1974 que certaines ont retrouvé leur nom comme celle d’Almada mais sans mentionner la qualité de pédagogue de Ferrer (ce qui a été rectifié en octobre 2014). La Mairie de Lisbonne a aussi attribué le nom de Ferrer à une rue du quartier de l’Alto dos Moinhos, mais avec une inscription controversée de pédagogue et politicien (sic !).

Plaque de la rue Francisco Ferrer (1859-1909) à Millau (Aveyron).

Plaque de la rue Francisco Ferrer (1859-1909) à Bagnolet (Seine-St-Denis).

Plaque de l’Avenue Francisco Ferrer au Pré Saint-Gervais (Seine-St-Denis).

Plaque de la rue Francisco Ferrer (1859-1909), à Vénissieux (dép. du Rhône).

Plaque de la rue Francisco Ferrer à Ivry-sur-Seine

Face à la disparition progressive des plaques de rues à Francisco Ferrer autour de Charleroi, la Maison de la Laïcité de Fontaine-l’Evêque (Belgique) a pris l’initiative de rappeler qu’une place (aujourd’hui place Hyppolyte Cornille) de la ville portait le nom de Ferrer, en hommage au pédagogue libertaire fusillé en 1909 par la monarchie cléricale espagnole pour avoir créé une École Moderne (mixte et laïque).

En plus d’être un pédagogue libertaire espagnol et un libre penseur anarchiste Francisco Ferrer était aussi franc-maçon du Grand Orient d’Espagne. Cette plaque rue Ferrer à Charleroi (Wallonie, Belgique) rappelle la solidarité de ses frères belges.